Récupérations d'épaves de vaisseau en URSS

Récupérations d’épaves de vaisseau en URSS

En 1967, dans une interview donnée à un journaliste espagnol pour El Correo Catalan de Barcelone (numéro du 18 novembre 1967), Zigel a fait état de morceaux d’OVNI conservés et étudiés en URSS en évoquant  » certains fragments métalliques de composition inconnue « .

Le 21 février 1959, des dockers du port polonais de Gdynia voient un objet irradiant tomber en plein milieu du bassin portuaire et leur description est si précise que l’endroit où il a disparu peut être fixé avec exactitude.
Les autorités maritimes envoient alors trois plongeurs qui pénètrent dans l’eau chargée de glaçons et annoncent d’abord que leurs recherches sont gênées par un épais nuage de boue ; ils finissent néanmoins par remonter à la surface avec une pièce métallique.

Les journaux qui ont relaté cet événement affirment que ce métal ne portait pas la moindre trace de rouille ; ce qui implique qu’il pouvait bien appartenir à l’objet initial météorique.
Après avoir été préalablement examinée par la Marine polonaise, la pièce métallique fut envoyée à l’Université Polytechnique de Gdynia.

On ignore complètement les conclusions de ces deux examens. Nous ne savons même pas ce qu’était cet objet ni ce qu’il est devenu. On a fini par savoir que des  » malchances  » s’étaient produites au cours de ces analyses, à la suite desquelles une bonne partie de la pièce fut  » perdue « . (Similitude entre cette histoire et celle concernant un morceau de magnésium que certains affirment provenir d’un OVNI, ramassé à Utaba au Brésil.)

Plusieurs jours après que l’objet incandescent ait plongé dans les eaux du port, des hommes préposés à la garde des plages environnantes tombèrent sur une étrange silhouette : une sorte d’homme qui se traînait, complètement épuisé, sur le sable. Cette créature ne parlait aucune langue connue et était habillée d’une  » espèce d’uniforme  » ; une partie de son visage et de sa chevelure paraissait brûlée.

On l’emmena à l’hôpital de l’Université où il fut tenu dans l’isolement et examiné. Mais il se révéla vite qu’il était impossible de déshabiller cette créature, car  » l’uniforme  » ne portait aucun moyen d’ouverture. Il n’était pas fait d’une substance habituelle telle que laine ou tissu, mais d’un métal qui ne put être coupé qu’avec des outils spéciaux et après bien des efforts.

Les docteurs notèrent que les organes de leur  » patient  » étaient très différents des nôtres : le système circulatoire était tout nouveau pour eux et le nombre de doigt et d’orteils n’était pas normal.
La créature resta vivante jusqu’à ce qu’une sorte de brassard lui ait été enlevé. La  » dépouille  » en fut alors envoyée en URSS pour examen plus approfondi.
Les ufologues polonais établirent promptement un lien entre l’objet métallique et la créature d’une part et les OVNIS et tout ce qui s’y rapporte d’autre part.

Le journal  » La Pravda  » révèlent d’autres dossiers comme celui d’un crash comparable à Roswell émergent. Attitude étrange quand on connaît les liens qu’entretient ce journal avec le pouvoir russe.
Cette affaire de Crash aurait eu lieu le 29 janvier 1986 à 19h55 à Dalnegorsk.

Principale Source :
« Les Ovnis en URSS et dans les pays de l’Est », édition Robert Laffont, 1976, Ion Hobana et Julien Weverbergh

Source: Le nouvel ordre mondial

En savoir plus sur Vincent Deroy

Depuis août 2012, je fouille sur le web à la recherche des cas paranormaux les plus étranges pour le site www.paranormalqc.com dont je suis le Rédacteur en chef. Handicapé de naissance, j'ai aussi été secrétaire-trésorier du musée de mon village pendant 6 ans et demi.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.