Philip J. Corso : J’ai vu des cadavres d’extraterrestres

Philip J. Corso : J’ai vu des cadavres d’extraterrestres

Philip James Corso était un officier de l’armée américaine. Il a servi dans l’armée américaine du 23 février 1942 au 1er mars 1963 et a obtenu le grade de lieutenant-colonel

.

Corso a publié The Day After Roswell en 1997, sur son implication présumée dans la recherche de technologies extraterrestres récupérées lors de l’incident de Roswell en 1947.

Le 23 juillet 1997, il a été invité à l’émission de radio Coast to Coast AM avec Art Bell, où il a parlé en direct de son histoire de Roswell. Corso est mort d’une crise cardiaque moins d’un an plus tard.

Le général de brigade Brown (à gauche) serre la main du major Philip Corso, qui vient de recevoir son étoile de bronze à Rome.

Il affirme avoir réellement vu le corps d’un extraterrestre mort récupéré dans l’épave de Roswell en 1947. Depuis plus de 50 ans, le monde est captivé par l’incident de Roswell, et le colonel Philip Corso, officier de l’armée américaine à la retraite, aujourd’hui décédé, nous a laissé des détails sur ce qu’il a vu en 1947 à Fort Riley dans le Kansas.

Il est l’officier le plus haut gradé à avoir donné des détails sur le célèbre crash du Nouveau-Mexique.

Il a affirmé que l’épave du Nouveau-Mexique ne provenait certainement pas d’un ballon, mais d’un vaisseau spatial extraterrestre. Bien que l’affaire Roswell soit souvent mise à mal par des témoins dont les affirmations sont démenties, ou par le truquage du fameux film d’autopsie d’un extraterrestre Santilli, elle revient toujours sur le devant de la scène ufologique.

Les affirmations de Corso sont devenues publiques dans son livre, « The Day After Roswell ».

Non seulement Corso prétendait avoir vu un corps extraterrestre à Roswell, mais aussi des dossiers secrets du Pentagone concernant l’incident. Il a déclaré que le Pentagone avait envoyé les corps des aliens à l’hôpital Walter Reed à Washington, D.C. Des autopsies ont été faites sur les aliens morts. Il nous dit aussi que les meilleurs américains ont été déconcertés par les extraordinaires merveilles technologiques du vaisseau alien.

Différentes parties du vaisseau de Roswell ont été envoyées à diverses entreprises de défense, qui ont procédé à une rétroconception de leurs propriétés. Cet exploit d’ingénierie a finalement conduit à un certain nombre de percées. Parmi elles, des circuits intégrés, des équipements de vision nocturne, le laser, des faisceaux de particules et des fibres optiques. On a dit aux entrepreneurs que les pièces avaient été volées en Russie.

Il affirme également que la dissimulation du gouvernement n’avait pas seulement pour but de cacher au public la vérité sur l’intelligence extraterrestre, mais aussi de donner le temps nécessaire pour que le processus de rétro-ingénierie soit protégé des pays étrangers, en particulier des Russes.

Dans son livre, Corso déclare : « Personne ne voulait arriver en seconde position dans la course silencieuse et inavouée au développement de la technologie extraterrestre qui se déroulait au Pentagone, alors que chaque service poursuivait tranquillement sa version de l’arme secrète de Roswell ».

La première percée de Corso dans la vaste boîte à surprises « above top secret » est survenue lorsqu’il était stationné à Fort Riley au Kansas en juillet 1947. Il était devenu curieux à propos d’une cache de boîtes scellées qui étaient stockées dans une zone de haute sécurité de la base. Ne pouvant retenir son désir de découvrir les secrets qu’elles contenaient, il prit une torche et ouvrit l’une des boîtes. Il a été choqué par ce qu’il voyait.

« Le contenu, enfermé dans un épais récipient en verre, était immergé dans un épais liquide bleu clair. Au début, j’ai pensé que c’était un enfant mort qu’ils transportaient quelque part, mais ce n’était pas un enfant. »

« C’était une silhouette d’un mètre quatre-vingt avec des bras, des mains bizarres à quatre doigts – je n’ai pas vu de pouce – des jambes et des pieds minces, et une tête surdimensionnée en forme d’ampoule incandescente qui avait l’air de flotter au-dessus d’une nacelle de ballon pour menton. »

« J’ai eu l’envie de toucher la peau gris pâle. Mais je ne pouvais pas dire si c’était de la peau parce que cela ressemblait aussi à un tissu très fin d’une seule pièce de la tête aux pieds couvrant la chair de la créature. »

La description du corps faite par Corso est très similaire à celle que d’autres témoins de Roswell ont faite des extraterrestres.

Bien que certains enquêteurs rejettent les affirmations de Corso, il n’y a aucun doute sur ses références.

Après avoir rejoint l’armée en 1942, il a servi dans les services de renseignement de l’armée en Europe.

Pendant la guerre de Corée, il a poursuivi ses fonctions de renseignement sous les ordres du général Douglas MacArthur.

Il a complété son impressionnant curriculum vitae en faisant partie pendant quatre ans du personnel de sécurité nationale du président Dwight Eisenhower.

La principale critique concernant son livre est le manque de références à des documents, ce qui, à mon avis, ne rend pas nécessairement ses affirmations fausses. Avec la réputation que Corso avait, et ses autorisations, il me semble très probable qu’il aurait été en mesure de voir ce qu’il a vu.

Le 8 juin 1998, l’ACSU a publié ce communiqué de presse : UN COLONEL DE L’ARMÉE À LA RETRAITE JURE SOUS SERMENT AVOIR VU DES CORPS EXTRATERRESTRES ET DES RAPPORTS D’AUTOPSIE.

Je, Col. Philip J. Corso, (Ret.) jure par la présente, sous peine de parjure, que les déclarations suivantes sont vraies :

– Qu’à tous les moments mentionnés ci-après, j’étais un membre et un officier du défendeur.

– Pendant mon mandat auprès de l’accusé, j’étais membre du Conseil de sécurité nationale du président Eisenhower et ancien chef du bureau de la technologie étrangère au département de recherche et de développement de l’accusé.

– Le 6 juillet 1947 ou aux alentours de cette date, alors que j’étais en poste à Fort Riley, au Kansas, j’ai personnellement observé une créature non humaine d’un mètre quatre-vingt, dotée de mains bizarres à quatre doigts, de jambes et de pieds minces, et d’une tête surdimensionnée en forme d’ampoule à incandescence. Les orbites des yeux étaient surdimensionnées, en forme d’amande et pointaient vers le bas jusqu’à son minuscule nez. Le crâne de la créature était surdimensionné au point que tous les traits de son visage étaient disposés frontalement, n’occupant qu’un petit cercle sur la partie inférieure de la tête.

– Il n’y avait pas de sourcils ni aucune trace de pilosité faciale. La créature n’avait qu’une minuscule fente plate en guise de bouche et celle-ci était complètement fermée, ressemblant davantage à un pli ou à une indentation entre le nez et le bas du crâne sans menton qu’à un orifice pleinement fonctionnel.

– En 1961, je suis entré en possession de ce que j’appelle le « dossier Roswell ». Ce dossier contenait des rapports de terrain, des rapports d’autopsie médicale et des débris technologiques provenant du crash d’un véhicule extraterrestre à Roswell, au Nouveau-Mexique, en 1947.

– Que j’ai personnellement lu les rapports d’autopsie médicale qui font référence à l’autopsie de la créature décrite précédemment que j’ai vue en 1947 à Fort Riley, Kansas.

– Lesdits rapports d’autopsie indiquent que l’autopsie a été effectuée à l’hôpital Walter Reed qui était sous l’autorité du défendeur au moment de l’autopsie.

– Ledit rapport d’autopsie désignait la créature comme une « entité biologique extraterrestre ».

Colonel Philip J. Corso (retraité)

Assermenté devant moi ce jour du ___ mai 1998.

L’avocat Peter A. Gersten, directeur exécutif de Citizens Against UFO Secrecy, Inc. (CAUS), une organisation activiste de l’Arizona à but non lucratif qui se consacre à mettre fin à tous les secrets entourant le contact de cette planète avec une intelligence extraterrestre, a annoncé aujourd’hui que le colonel de l’armée à la retraite Philip J. Corso a prêté serment sur des déclarations faites précédemment dans son livre à succès « The Day After Roswell ».

Gersten a déclaré que le colonel Corso a fourni à la CAUS, pour son procès contre le ministère des Armées, une déclaration sous serment réaffirmant les déclarations précédentes selon lesquelles il a vu des corps extraterrestres en juillet 1947 et a eu l’occasion de lire leurs rapports d’autopsie en 1961.

L’action en justice de l’ACUS, qui a été déposée le 25 mars 1998 auprès du tribunal de district de Phoenix, demande au tribunal fédéral d’ordonner à l’armée de fournir à Gersten et à l’ACUS tous les documents relatifs à ce que le colonel, qui a prêté serment, a vu et lu.

Corso est mort d’une crise cardiaque à environ 23h15 EDT le jeudi 16 juillet 1998. Il avait 83 ans.

Source: Astro Univers

En savoir plus sur Vincent Deroy

Depuis août 2012, je fouille sur le web à la recherche des cas paranormaux les plus étranges pour le site www.paranormalqc.com dont je suis le Rédacteur en chef. Handicapé de naissance, j'ai aussi été secrétaire-trésorier du musée de mon village pendant 6 ans et demi.

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