Ovni: Rencontre de Cussac

Ovni: Rencontre de Cussac

Date de l’incident: 29 août 1967.
Lieu de l’incident: Cussac, France.

La rencontre de Cussac est le nom donné à une rencontre rapprochée qu’auraient eu deux jeunes frère et sœur avec un OVNI et ses occupants en août 1967 à Cussac (département du Cantal). Le récit de leur témoignage fut recueilli par la gendarmerie.

Le témoignage

L’événement se déroule le matin du 29 août 1967, au village de Cussac, qui compte alors 282 habitants dans 70 maisons. La commune est située sur un plateau, à 1045 m d’altitude. Ce matin-là, il fait beau (ciel clair) mais un peu frais (12 à 16 °C) avec une légère brise soufflant de l’ouest. Dans 2 vallées, à 10 km de Cussac, il y a du brouillard matinal.

François (13 ans 1/2) et sa sœur Anne-Marie (9 ans), accompagnés de leur chien Médor sont partis depuis 8h00 conduire une dizaine de vaches à environ 800 mètres à l’ouest du village de Cussac, au lieu dit « Les Tuiles », dans un pré situé en bordure de la départementale 57 (reliant Les Ternes à Pont-Farin)

Les vaches s’apprêtant à franchir le muret de séparation avec le pré voisin, François se lève alors pour appeler son chien afin qu’il fasse revenir les bêtes. Ce faisant, il aperçoit de l’autre côté de la route (derrière une haie) à environ 80 m de lui, 4 petits êtres, qu’il pense d’abord être des enfants. Il escalade alors quelques pierres pour mieux les distinguer. Il les trouve étranges : Ils sont d’un noir « soyeux », sans distinction de vêtements ou de visage.

Leur taille varie entre 1 m et 1,20 m, deux étant plus petits que les autres. Leurs bras sont longs et fins et leurs jambes courtes et fines. Leur tête semble avoir des proportions normales mais le crâne et le menton semblent plus accentués et tous semblent porter une « barbe ».

François et Anne-Marie distinguent derrière eux, à moitié cachée par la haie, une sphère extrêmement brillante, de 4 à 5 m de diamètre (Anne-Marie sous-estimera cette distance à 2 à 2,50 m comme toutes les distances qu’elle évaluait). Cette sphère est pénible à regarder, tant elle étincelle. Aucune ouverture ou porte n’est visible.

François dit : « Oh, il y a des enfants noirs ! » Sans se retourner, sa sœur répond : « Tu les appelles ? ». Mais lui répond : « Regarde, regarde » Puis il monte sur le muret contigu pour mieux voir « les enfants noirs ». Sa sœur se lève et observe à son tour. Un des « enfants noirs » est baissé et semble s’affairer à terre. Deux autres sont vus de profil. Le 4e, un peu plus grand, tient un objet rectangulaire reflétant le Soleil situé derrière les témoins (que François compare à un miroir) et agite ses mains semblant faire des signes à ses compagnons : les petits êtres semblent prendre conscience d’être observés.

Le 1er s’envole à la verticale et plonge, la tête la première, dans la partie haute de la sphère. Le 2e le suit de la même manière et le 3e, après s’être relevé, fait de même. Le 4e (le plus grand) s’élève mais, avant de plonger dans l’appareil, redescend pour ramasser quelque chose (son « miroir » estime François).

La sphère commence dès lors à s’élever selon une trajectoire hélicoïdale (4 à 6 tours dans le sens horaire vu de dessous, de rayon croissant sur 10/50/100 m, à raison de 1 tour/s environ) et les vaches commencent à beugler.

Le 4e être s’envole de nouveau et rattrape la sphère au moment où elle a déjà atteint 15 m de hauteur environ. Les enfants distinguent sur ce dernier comme des « pieds palmés » alors qu’il est en l’air. Anne-Marie lui remarquera aussi un « nez pointu ».

La sphère décrit encore quelques cercles, s’élevant toujours, tandis que l’intensité lumineuse qu’elle irradie s’accroît fortement. Puis, le bruit qui accompagnait le décollage de la sphère disparaît et celle-ci s’éloigne très vite en direction du nord-ouest.

En même temps, une odeur de soufre (le soufre n’ayant pas d’odeur, peut-être plutôt SO2 ou ozone) se répand et vient jusqu’aux enfants (le léger vent d’ouest correspond à la configuration objet ? enfants).

Les vaches se mettent à beugler et à s’agiter. 25 vaches situées dans un pré voisin, à environ 300 m de là, beuglent aussi et viennent se rassembler près de celles de François et d’Anne-Marie. Le chien Médor aboie après l’objet et semble vouloir le suivre. Les enfants ne voient pas l’objet disparaître, car ils sont obligés de s’occuper des vaches, très agitées.

L’observation aura duré 30 secondes. Les enfants se dépêchent de ramener les vaches à la ferme, 30 min (2 h ?) avant l’heure prévue. Dix minutes après l’observation, un agriculteur les voit sur la route en train de rentrer avec les vaches, manifestement en pleurs et en état de choc. Il constate aussi l’agitation des vaches.

François (qui a les yeux fragiles) larmoie pendant le quart d’heure qui suivra l’apparition, et le matin au réveil, pendant plusieurs jours de suite. Sa sœur (qui ne porte pas de lunettes), ne ressentira rien. Elle sera la seule à parler de 3 ou 4 béquilles droites aperçues alors que la sphère se trouvait encore au sol.

Le maire de Cussac, qui est aussi le père des enfants, voit arriver le chien Médor, puis ses enfants choqués (ordre d’arrivée qu’il décrira comme inhabituel).

Il décide d’appeler les gendarmes de Saint-Flour, à 19 km de là. Le maire les connaît bien, ce sont eux qui s’occupent des accidents de la route, et de bien d’autres problèmes, comme lui-même le fait pour ses administrés.

Les gendarmes arrivent à 16 h. Ils constatent l’odeur et une trace d’herbe légèrement jaunie, de 4 à 5 mètres, derrière la haie (le contraste s’affaiblit peu à peu dès le 1er jour). Ils recueillent les témoignages, et informent leur hiérarchie par radio. Cependant on ne retrouvera nulle trace du rapport.

Anne Marie n’arrive pas à dormir les deux jours qui suivent. Les enfants resteront choqués près d’une semaine.

Arguments ufologiques

– Depuis ce matin du 29 août 1967 (40 ans en 2007), les deux frères et sœurs n’ont jamais démenti, ni contredit leurs témoignages.

– Leur frayeur en rentrant au village, ainsi que leur état de choc les jours qui suivirent, furent observés par de nombreux habitants.

– Dans leur déclaration à la Gendarmerie, François et Anne-Marie évoquent un bruit de sifflement accompagnant le décollage de la sphère. Or, un garde-champêtre qui n’a pas assisté à la scène, mais qui habitait à proximité déclarera, a posteriori, avoir également entendu ce bruit.

Source: Wikipédia

En savoir plus sur Vincent Deroy

Depuis août 2012, je fouille sur le web à la recherche des cas paranormaux les plus étranges pour le site www.paranormalqc.com dont je suis le Rédacteur en chef. Handicapé de naissance, j'ai aussi été secrétaire-trésorier du musée de mon village pendant 6 ans et demi.

Un commentaire

  1. bonjour,
    le témoignage que vous rapportez ne correspond pas aux archives de la gendarmerie. Il y a de nombreuses exagération et détournement.
    Mais faut-il encore vouloir trouver la vérité et pas seulement renforcer ses croyances…

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