Les témoignages de disparition de foetus du ventre de femmes abductee sont de plus en plus courants. Budd Hopkins en a recensé deux cents. L’abductée tombe enceinte, se demande comment cela a pu arriver, et le foetus disparaît au bout de deux mois, sans fausse couche. L’hypnose permet alors de découvrir ce qui s’est passé. Lors de l’abduction on oblige l’enlevée a avoir des rapports sexuels avec un alien ou on lui fait une insémination artificielle. (expériences traumatisantes pour celles qui l’ont vécue). Les foetus sont retirés entre la sixième et la douzième semaine, par une intervention douloureuse. Les bébés hybrides se développent a bord du vaisseau et sont montrés a leur mère lors d’un enlèvement. Malgrès l’apparence monstrueuse de ces bébés (peau transparente, malformations, tein pâle), la mère s’y attache et doit les materner, sous les injonctions télépathiques des aliens. Le syndrome de foetus manquant est aggravé par les gynécologues qui refusent d’en parler, de crainte d’être poursuivi en justice. (les américains sont très procéduriers.)
Le syndrome du foetus manquant, ces « incidents » sont reportés sur les dossiers comme « fausses couches » ou « grossesses nerveuses » par des médecins abasourdis qui constatent quelques semaines après avoir fait le diagnostique d’une grossesse, que le foetus a tout simplement disparu et qui ne peuvent tout simplement pas expliquer cela, alors ils donnent un terme à cette disparition et n’osent pas se mouiller de peur que cela nuise à leur réputation professionnelle et privée.
Chaque femme sait très bien qu’une fausse couche ne se déroule pas comme ça, et hop, ni vu ni connu, sans aucune douleur. Ce sont des centaines de femmes qui sont touchées par ce phénomène, des femmes qui comme par hasard sont victimes d’enlèvements et cela, depuis leur enfance pour la plupart. Comme preuve, tu n’as que la bonne foi de ces femmes, qui souffrent non seulement des évènements qui les suivent depuis leur enfance, qui souffrent doublement puisque pour la plupart, leurs enfants sont également concernés et de plus, on leur « vole » l’enfant qu’elles portaient.
Budd Hopkins :
Né en 1931, il est aujourd’hui le spécialiste américain des abductions. Peintre et sculpteur, ses oeuvres sont exposées dans de grands musées américains : Guggenheim et Whitney Museum a New York.
Il découvre les enlèvements en 1975 avec un premier témoignage qui l’intrigue. Il mène l’enquête et en fait un article qui parait dans le journal The Village Voice. Rapidement submergé d’appels, il décide d’approfondir le sujet.
Depuis il a appris l’hypnose et s’en est servi sur plus de 400 abductee pour mettre a jour leurs expériences.
L’enquêteur américain, Budd Hopkins a rassemblé quelques témoignages dans lesquels les personnes concernées rapportent leurs expériences.
Voici ses témoignages:
Une enlevée[ « Susan » ], ne juge pas la situation de la même manière quant à ce qu’on lui montre. Peut-être cela vient-il du fait que la petite créature qu’on lui montre est encore un bébé dont les caractéristiques aliens ressortent particulièrement: « …elle est beaucoup trop petite. Mais pas comme un embryon. La peau est très fine….très fine, encore plus fine que du papier de soie….. comme pour un nouveau né, mais plus fine encore, extrêmement fine. Le plus étrange est que ses proportions ne sont pas celles d’un bébé. C’est ce qui est le plus étrange…il serait mieux de dire qu’elle a les proportions d’un adulte…d’un « mini-adulte ». Je vois son pouls battre sur son cou. Maintenant, je vois son visage. et bien ça alors! Ses traits de visage sont tirés vers le bas…elle a l’air âgé. Hm! Sa couleur de peau ne semble pas saine, elle n’est pas rosée comme celle d’un bébé. C’est une étrange pâleur grise. En regardant bien, je la trouve plutôt repoussante… je ne peux pas voir ses yeux…si, un petit peu. Ses traits de visages partent vers le bas, sa tête semble rajeunir à partir du menton. Tout est rapetissé d’une certaine manière. Je l’ai soulevée avec précaution,avec une main et je soutiens sa tête avec mes doigts. Très, très légère. Ce bébé ne pèse même pas 500g. Pas très robuste »
Pour une autre femme [„Pam »], la vue de la créature n’a pas éveillé non plus d’ instinct maternel :
« A première vue, le bébé ressemblait à un agneau venant de naître. Cette petite chose était allongée là, avec des petites jambes maigres. Et lorsque je l’ai soulevée, c’était un bébé. Mais il avait l’air pitoyable… D’une certaine manière, mi humain, mi…ce que c’était avant, avec ses petites jambes maigres. La peau est blanche et tellement fine, presque transparente… j’ai le sentiment que je pourrais lui tirer la peau du corps sans problème. Il est étrange…et un peu repoussant aussi. Il vit, mais en fait, il a presque l’air d’un squelette. Il a une grosse tête, et il est allongé là…et ses jambes sont tellement maigres, comme si elle n’avaient pas d’os. Ce bébé n’est pas proportionné. Il a un très petit corps, presque anguleux et des bras et jambes trop longs en rapport avec le reste du corps. Il n’y a pas de chair sur les os. La seule partie de son corps semblant peser quelque chose, c’est sa tête. »
Ces témoignages réunis par Budd Hopkins, bien que ces femmes rapportent des descriptions sensiblement différentes les unes des autres, montrent des similitudes remarquables. Le bébé de Susan a une peau « plus fine que du papier de soie », celui de Pam a une peau « presque transparente » ce que Pam ressent comme « repoussant ». Le minuscule bébé que décrit Susan est « d’une étrange pâleur grise » et Susan le trouve également « repoussant ». Les bras sont également très petits et les proportions des deux bébés sont décrites comme hors normes. Les deux femmes ont parlé du faible poids de ces enfants, un poids bien en dessous de la moyenne du poids normal de nouveaux nés et toutes ont mentionné que le bébé n’avait pas l’air en bonne santé. Source: Budd Hopkins, Intruders.
D’après des abductés, des fœtus – dont le génome a été trafiqué – seraient placés dans des incubateurs, et outre le milieu nutritif seraient reliés à des fils, type fil électrique. L’on peut donc se demander si le liquide ne supporte pas simplement le poids du fœtus pour qu’il se développe, puisque aucun cordon ombilical ne véhicule vers son ébauche d’estomac ce qui est indispensable à son développement au cours des mois jusqu’à ce qu’il soit mis à l’air libre ! Et l’apport d’oxygène ? Le lait ensuite ? Les humanoïdes sont asexués (tous ?), et les études avec mutilations sur les bovins ne visent quand même pas à vérifier le taux de polluants dans le lait, ni à en fabriquer un en poudre ! Aucun abducté ne rapporte avoir vu des biberons à bord d’un ovni, ni pour une génitrice involontaire d’avoir dû donner le sein à un bébé qu’on lui disait être – en partie – le sien. Ces hybrides là auraient-ils encore eu le palais obturé, et pas de pousse de dents, ni de rectum ( pas de couches à bord, et portées par les bébés à ma connaissance), pas de POUMONS, vu le palais obturé – si cela est, bien entendu. L’hybridation viserait à ce que la conformation interne et externe (organes et fonctions) des demi-humanoïdes devienne au cours des manipulations génétiques identique à la nôtre. L’on ne sait si les abductés marchent sur un support plancher à bord, mais sans doute que lorsque les hybrides auront une apparence identique à la nôtre morphologiquement, (et aspectivement pourront passer pour des humains terrestres) ils leur aura fallu auparavant apprendre à marcher pour ne pas ressembler aux hommes en noir aux jambes raides !
Source: Budd Hopkins, Intruders.
Jacobs y fait la synthèse de cinq années d’investigations, sur plus de soixante sujets ayant révélé sous hypnose leurs enlèvements. Il y établit une sorte de scénario-type, de modèle standard, qui semble se répéter, principalement aux Etats-Unis, depuis les années 70. En voici le scénario, très résumé, qui renforce les aspects gynécologiques et génétiques de ces aventures, avec éventuellement quelques variantes. Le début est classique : enlèvement et le transport à bord de l’ovni, puis examen physique. Jacobs met ensuite en évidence deux aspects nouveaux, ou du moins ignorés jusque là : l’inspection mentale (mindscan) – les victimes ont l’impression que leur esprit est envahi, qu’on lit dans leurs pensées, et qu’ils ne peuvent résister – et la création d’un lien affectif très puissant. Viennent alors des opérations de reproduction.
Pour David Jacobs, comme pour Budd Hopkins, et d’autres chercheurs qui ont pratiqué ce genre d’investigations, les interventions gynécologiques sont une constante et constituent le point focal de tous ces récits d’enlèvements. Ce sont des opérations de prélèvements d’ovule, par le vagin ou au niveau du nombril, et la plupart des victimes savent ce qui se passe. Les êtres utilisent un long tube fin et flexible par le vagin, ou une fine aiguille prolongée par une sorte de seringue, par le nombril. C’était, on l’a vu, cette procédure qui avait été décrite par Betty Hill, lors des séances d’hypnose chez le Dr Simon, en 1964, donc bien avant qu’elle soit utilisée en gynécologie, au cours des années 70, ce qui contribue à exclure toute fabulation de sa part. Evidemment, on ne peut en dire autant des récits plus récents… Les opérations d’implantation d’embryon semblent comparables. En revanche, on arrive maintenant à la phase cruciale, très au-delà de la pratique médicale, qui est l’extraction de fœtus vivants, mettant fin mystérieusement à la grossesse. Il faut souligner ici qu’il n’y a pas, à ce jour, de cas constaté médicalement de façon certaine (publié dans la littérature médicale). Enfin, lors d’un enlèvement ultérieur, vient la « présentation d’enfant ». C’est d’abord la visite d’une salle d’incubation (« incubatorium »), avec des récipients transparents, remplis d’un liquide dans lequel baignent des fœtus en incubation : Le « Meilleur des mondes » est arrivé ! Certains témoins disent avoir vu jusqu’à une centaine de fœtus dans un tel lieu… Vient ensuite la présentation d’enfants dans une nursery. Tous les témoignages se recoupent : il s’agit de petits êtres très fragiles, à l’air maladif et prostré, d’apparence hybride. Les aliens demandent aux femmes de prendre les » enfants » dans leurs bras, ce que certaines acceptent, envahies par la pitié. Notons que de nombreuses victimes résistent et refusent toute » coopération « , au point d’étonner les étrangers. Des ruses, telles que des images » écran », semblent employées pour les amener à s’y résoudre : l’enfant revêt alors l’apparence d’un beau bébé humain. Une autre façon consiste à lui faire croire que c’est son propre enfant !
La conclusion de David Jacobs est très pessimiste et est un véritable cri d’alarme : « Nous avons été envahis. Ce n’est pas une occupation, c’est une invasion […]. Nous voyons un programme inquiétant d’exploitation apparente d’une espèce par une autre. Nous ne savons pas comment cela a commencé. Nous ne savons pas comment cela se terminera. Mais nous devons faire face à ce phénomène d’enlèvements et commencer à réfléchir rationnellement à ce que l’on peut faire. »
Dans un second livre, au titre provocant de La Menace (mais Jacobs m’a dit que c’était l’éditeur qui avait choisi ce titre), Jacobs prédit un scénario d’envahissement et de sujétion de l’humanité, qui fait penser aux plus sombres scénarios de science-fiction : l’humanité tout entière est menacée par une race d’aliens qui fabriquent secrètement des êtres hybrides destinés à nous remplacer, et qui vont bientôt prendre le pouvoir sur Terre ! Ce sera le grand » changement » (The Change), et cela se fera dans quelques années, ou peut-être dans une ou deux générations…
Il faut dire que David Jacobs, avec ces vues extrêmes, n’a pas fait école aux Etats-Unis, et encore moins dans les autres pays. Si l’on prend ces témoignages au sérieux, d’autres hypothèses, encore inquiétantes mais moins catastrophiques, sont imaginables. Cela dit, des histoires de ce genre ont été recueillies par de nombreux enquêteurs indépendants, et qui se recoupent bien, comme l’ont montré les études de l’ethnologue Thomas Bullard. On est obligé d’admettre, d’une part la sincérité de la plupart des témoins – en dépit de toutes les critiques des sceptiques, dont je ne vais pas faire ici l’inventaire car il serait trop long et, à vrai dire, fort ennuyeux – et d’autre part une certaine cohérence de l’ensemble du dossier des enlèvements. Si nous prenons par exemple les aspects gynécologiques, ce scénario d’enfants transgéniques, menés à terme artificiellement, pourrait bien devenir possible médicalement au cours de ce siècle, comme le suppose Henri Atlan dans son livre L’utérus artificiel (Seuil, 2005). Au minimum, cela donne à réfléchir : ce que racontent ces témoins n’est pas forcément absurde ! Il y a, d’autre part, des éléments physiques qui, s’ils ne sont pas encore des preuves de la réalité de ces récits, n’en sont peut-être plus très loin.
Source: http://www.mysteredumonde.com
Passionnant!