La création d'êtres humains en laboratoire.

La création d’êtres humains en laboratoire.

La quête de l’or d’Enlil le conduisit dans une luxuriante région, fort éloignée de la Mésopotamie. Sitchin pense qu’il s’agit de l’Afrique du Sud.

Les Anunnaki auraient établi une capitale sur les rives du Zambèze (dans l’actuel Mozambique), voie d’eau qui permettait d’atteindre la Mésopotamie par bateau, par le golfe Persique et la mer d’Arabie. Dans les mines, les astronautes anunnaki, habitués à une vie facile, se lassèrent rapidement de la dureté des conditions de travail. La situation devint si intolérable que, lorsque Enlil visita les mines, ils organisèrent une mutinerie, décrite par les textes anciens comme une rébellion divine.

«Chacun des dieux que nous sommes a déclaré la guerre, crièrent-ils. Le labeur excessif nous a éreintés. Notre travail était dur, et notre détresse plus grande encore.» Mais Enlil ne se laissa pas émouvoir. Au lieu de leur offrir une amélioration de leur sort, il les menaça de mort. Mais son père, Anu, soutint les mutins, tout comme Enki, le demi-frère d’Enlil. Ce dernier proposa, avec Ninharsag, déesse chargée de la médecine, de créer un lulu, ou travailleur primitif, qui délivrerait les dieux de leur charge. Tous approuvèrent cette idée, sauf Enlil, et Enki se mit au travail avec Ninharsag.

Ils firent un mélange des créatures de la Terre, combinant les gènes d’oiseaux, de cheptel, de lions et d’autres animaux avec ceux d’un être qui semblait plus évolué que les autres: l’homme-singe, ou hominidé. Le résultat fut hélas décevant. Puis ils créèrent un lulu satisfaisant — le premier homme — en mélangeant le patrimoine génétique de l’homme-singe avec celui d’un Anunnaki. Ninharsag, ensuite rebaptisée Ninti ou «dame qui donne la vie», contribua à créer un bébé hybride et s’écria «je l’ai fait de mes mains!»

Le lulu ressemblait aux Anunnaki. À la différence de son ancêtre velu, cet hybride avait, selon un texte ancien, «une peau semblable à celle d’un dieu». Les premiers humains furent conçus comme des êtres stériles et produits en masse par les Anunnaki, tandis que de nombreuses déesses développaient des foetus.

Sitchin écrit que, en acceptant l’idée d’une intervention génétique d’extra-terrestres, il est possible de résoudre un problème inhérent à la théorie de l’évolution, celui du chaînon manquant. Les anthropologues sont capables de retracer le développement des singes et le moment décisif où ceux-ci prirent le chemin de l’évolution humaine. Lorsqu’ils atteignent les antécédents immédiats de l’Homo sapiens, ils se trouvent confrontés à diverses énigmes. Selon l’expression de Sitchin, «l’Homo sapiens représente une telle rupture avec le lent processus évolutif du règne animal que beaucoup de nos traits comme la capacité de parler, sont sans aucun rapport avec les primates originels».

La réponse, prétend-il, est l’intervention. extraterrestre. Si les Anunnaki avaient été capables de voyager dans le système solaire et créer des colonies évoluées sur une autre planète que la leur, raisonne-t-il, ils pouvaient également intervenir sur l’héritage génétique des êtres, marquant ainsi un énorme progrès dans le processus de l’évolution humaine.

Pour réconcilier cette affirmation avec le récit biblique de la création, Sitchin attire l’attention sur les points communs des deux textes. Il déclare notamment que le Livre de la Genèse est une simple révision des anciens récits sumériens. Selon l’Épopée de la Création — version babylonienne d’un texte sumérien —les êtres humains furent importés en Mésopotamie, terre que nombre d’érudits associent au Jardin biblique de l’Éden. Là, Enlil et Enki, ennemis féroces depuis qu’Enlil avait supplanté son frère à la tête des Anunaki de la Terre, s’affrontèrent pour obtenir la suprématie.
Enki, allié de longue date des humains, décida de desserrer la poigne de fer que son frère exerçait sur eux. Comme le serpent de l’histoire biblique, il encouragea les êtres humains à goûter un fruit Interdit: il leur donna la capacité de procréer. Tout comme Adam et Ève devinrent conscients de leur nudité, les êtres humains découvrirent dans le don de la reproduction la puissance de gouverner leur propre destin. Enlil, furieux et effrayé à l’idée que les hommes puissent apprendre le secret de l’immortalité, les chassa de l’Éden et les obligea à se prendre en charge.

Bannis, les hommes continuèrent à procréer et finirent par se marier avec les dieux. Dans le livre de la Genèse, selon une traduction du texte original en hébreu signée par Sitchin, les mêmes événements se reproduisirent. «Et vint un temps où les Terriens virent croître leur nombre, et des filles naquirent; les fils des dieux virent les filles des Terriens et en firent leurs épouses.» Furieusement opposé à de telles unions, Enlil projeta de rayer les humains de la planète.

Les Anunnaki savaient qu’une catastrophe naturelle était imminente. Nibiru pas-serait bientôt près de la Terre sur sa longue orbite autour du Soleil, et ils se doutaient que sa force d’attraction gravitationnelle déstabiliserait les plaques de glace de l’Antarctique et les ferait glisser dans les océans, ce qui provoquerait un déluge et la destruction de toute vie. À l’approche de la date fatidique, les Anunnaki, sur les conseils d’Enlil, se réfugièrent dans des navettes spatiales placées en orbite autour de la Terre, sans en prévenir ses habitants. Ils ne pouvaient cependant savoir qu’Enki avait percé leurs mauvaises intentions et prévenu un sage, ap-pelé Utnapishtim dans un texte akkadien. Ainsi, un homme — que Sitchin identifie comme étant Noé — construisit une grande nef afin de recueillir des végétaux et des animaux de toutes sortes. L’humanité put ainsi survivre au déluge.

Source: Du Surnaturel à l’extraterrestre, Série: Les Mystère de l’inconnu, Éditions Time-Life, 1993.

La création d'êtres humains en laboratoire.

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Depuis août 2012, je fouille sur le web à la recherche des cas paranormaux les plus étranges pour le site www.paranormalqc.com dont je suis le Rédacteur en chef. Handicapé de naissance, j'ai aussi été secrétaire-trésorier du musée de mon village pendant 6 ans et demi.

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