En date du 19 novembre 2015.
Le 4 octobre 1967, aux alentours de 23H00, un objet de grande taille d’environ 20 mètres de diamètre traverse le ciel du port de Shag Harbour.
Les différents témoins décriront un objet en forme de « bol » portant 4 feux clignotants en séquence et suivant une trajectoire descendante d’environ 45°. Rapidement, l’objet finit sa course dans les eaux du port, où il s’écrase en produisant un « flash » lumineux, ainsi qu’une importante déflagration sonore. Patrouillant sur la route n°3 au même moment, l’agent de police Ron Pond est également témoin des mêmes faits.
Document officiel des archives canadienne
Pensant, au départ, qu’il s’agit d’un crash d’avion, Laurie Wickens contacte immédiatement le détachement de police montée royale de Barrington et explique les faits à l’officier Werbicki. Ce dernier décide de se rendre sur les lieux du sinistre accompagné de l’agent Ron O’Brien et contacte l’agent Ron Pond pour qu’il fasse de même.
Une fois sur le site du crash, les 3 policiers aperçoivent, à 800 mètres de la berge, un objet flottant à fleur d’eau et émettant une lumière jaune. Un bateau des gardes-côtes du port de Clark et plusieurs bateaux de pêche ce sont immédiatement dépêchés sur les lieux mais lorsqu’ils arrivent à l’endroit du crash, l’objet a déjà sombré, ne laissant qu’une nappe de mousse jaune, d’environ 35 mètres sur 900 et produisant une odeur proche de celle du soufre. Les recherches se prolongeront jusqu’à 3 heures du matin pour reprendre dès l’aube, le lendemain, mais sans résultats.
Le 8 octobre, 7 plongeurs de l’HMCS Granby inspecteront la zone toute la journée mais ne trouveront aucune trace ou débris pouvant expliquer l’origine de ce crash. Les recherches furent, définitivement, abandonnées le 9 octobre 1967. Depuis lors, cette affaire fait partie du folklore local et est devenue une source de revenus touristiques (la poste locale ayant même édité un timbre représentant un crash d’OVNI).
Source: TVQC.com
Il y a fort à parier que cet incident fût aussi géré par l’Armée américaine qui s’empressa de récupérer les débris, il y avait non loin de là une base militaire canadienne qui était aussi utilisé par l’Armée américaine.