Qui ne connait pas le monstre du Loch Ness ?
Ce cryptide écossais, qui fait parler de lui depuis plus de 200 ans, a toujours déchaîné les passions sur la question de son existence.
La première observation remontant à 1806.
Les témoins disant l’ avoir vu sont nombreux, mais beaucoup pensent qu’ il s’ agit d’ une mauvaise perception des choses.
Plusieurs théories ont étés émises… Tronc d’ arbre flottant, animal nageant mal identifié, ondulation de l’ eau… Mais une nouvelle théorie a fait son apparition.
Luigi Piccardi, un géologue italien, pense qu’ une faille sismique, se trouvant sous le lac, serait à l’ origine d’ une bonne partie des observations et de la légende du monstre.
Selon lui, l’ activité sismique et ses pics coïnciderait avec les apparitions rapportées :
« Nous savons qu’entre 1920 et 1930, le Great Glen Fault ( nom de la faille ), a connu une activité soutenue. Les gens croyaient voir le monstre, mais en réalité, ils n’ont vu que les effets des tremblements de terre sur l’eau ».
Long de 100 Kms, ce dernier coupe les highlands d’ Est en Ouest. Il est responsable de plusieurs séismes de magnitude 3 ou 4.
Une explication mettant fin à la légende ? Pas sûr…
De très nombreux clichés supposés du monstre auraient étés faites, mais il s’ est avéré qu’ il s’ agissait de faux pour créer l’ événement et faire du profit.
La plus connue, en noir et blanc et montrant une silouhette, étant une simple maquette de bois.
L’ un des derniers clichés du monstre remonte à 2012. Mr Georges Edwards, semblant de bonne foi, aurait photographié la créature mais beaucoup penchent pour un morceaux de bois ou un gros poisson…
Quelques soit les explications possibles, Nessie ( comme l’ appelle affectueusement les amoureux de crypto ), n’ a pas encore fini de faire parler de lui !
D’ après les dernières recherches effectuées, il s’agirait d’échos renvoyés par des débris flottant entre deux eaux. L’ ingénieur écossais Craig aurait constaté que des troncs fossilisés de pins résineux, gonflés par la décomposition du bois, remonteraient lentement de temps à autre jusqu’à la surface, pour plonger à nouveau après dégazage. Beaucoup plus plausible que tout autres explications.