En 1900, les seules âmes vivante sur l’île écossaise de Eilean Mor était trois gardiens de phare, seuls dans le vaste océan.
Le lendemain de Noël, un navire de ravitaillement est arrivé à l’île. À la surprise de l’équipage, les gardiens de phare ne les attendaient pas sur petit quai de l’île. Après avoir fait crier la corne du navire et envoyer une fusée, il n’y avait toujours pas d’activité sur l’île. Un gardien de phare de remplacement nommé Joseph Moore a finalement été envoyé pour enquêter.
Alors qu’il grimpait les escaliers étroits, rocheux menant au phare, Moore se rappelle d’avoir été frappé avec un sentiment de terreur sans nom. Quand il approchait de la porte, il vit que celle-ci était déverrouillée. Marchant soigneusement à l’intérieur, il a également remarqué que deux des trois vestes imperméables habituellement conservés dans la salle étaient absents. En atteignant la cuisine, il a trouvé les restes d’un repas et une chaise gisant sur le sol. L’horloge de la cuisine avait cessé de fonctionner. Les gardiens de phare étaient disparus.
Une autre enquête a révélé dernières communications inquiétantes dans le journal du phare. L’entrée du 12 décembre a été écrit par un gardien du nom de Thomas Marshall. Dans ce document, Marshall dit que l’île avait été frappé par des vents violents, pire que tout ce qu’il avait connu dans sa carrière. Même si le phare était assez solide pour survivre à n’importe quelle tempête, Marshall écrit que le gardien principal, James Ducat, était très calme. Le troisième gardien, William McArthur, était un marin expérimenté et un célèbre et rude bagarreur de taverne. L’entrée du journal se termine en notant qu’il avait pleuré.
Une autres entrées a enregistrées que l’orage a continué à faire rage pendant quelques jours. Sécurisé dans leur phare, les trois hommes avaient néanmoins commencé à prier. La dernière entrée a déclaré: «Tempête terminée, mer calme. Dieu est partout.»
Bien que le phare était visible depuis l’île voisine de Lewis, aucune tempêtes n’a été signalés dans la région de Eilean Mor pendant les jours indiqués dans l’entrée du journal.
Qu’est il arrivé au gardien de phare?ou sont-ils passé? personne ne les a jamais retrouvé.
Les corps sont où ? Pas dans la mer . . . . pas sur l`île . . . . pas dans le phare . . . . . Y aurait-il un autre endroit auquel on aurait pas pensé ou du moins pas vérifié ? Si c`est le cas alors les corps ne peuvent être que là ! Pensez-y un tout petit peu . . . . . . . . . . . . . . . . . . mais les crevasses voyons !! Mon hypothèse : L`horloge dans la cuisine était arrêtée , pourquoi ? Et si un gardien avait vu un autre gardien l`arrêter ? Il aurait tout de suite conclu à sa folie . Il en parle au deuxième gardien sain et là on doit agir . Pendant que le gardien-fou était assis à la table dans une position vulnérable , les deux autres auront essayé de le contrôler puis probablement de l`amener vers la remise extérieure pour l`y enfermer en attendant la relève quelque 10 jours plus tard . . . . Cela a le mérite d`expliquer la chaise renversée et l`horloge arrêtée . Malheureusement le gardien-fou aura réussi à s`extirper de l`emprise des gardiens et se sera sauvé quelque part sur l`île . . . . . les gardiens étaient subitement dans une position impossible car ils ne pouvaient se premettre le luxe d`attendre le retour du gardien-fou car se vengerait-il ? Ils devaient donc tout faire pour le ramener , peu importe le temps investi et le danger potentiel engendré par la situation malheureuse . La nuit , les vents terribles , les vagues énormes , le froid . . . . . auront eu raison de tous . Puisque lorsqu`on est sain on fait attention aux autres car humanité oblige alors c`est cela qui a fait en sorte selon moi que leur plan a échoué car ils devaient se conduire manu militari pour la réussite de leur plan . Les corps , donc , ne peuvent être que dans une des crevasses ou deux crevasses voisines . Enfin , je ferai remarquer que j`ai lu quelque part qu`à une hauteur d`environ 60 à 70 pieds ( 17 à 23 mêtres ) que du gazon avait été arraché par une vague et que la surface arrachée équivalait à environ 30 ou 40 mètres/carrés . . . . de mémoire . Ils sont peut-être dans la crevasse sous cet endroit ?